samedi 18 août 2007

Vacances 2007 - Autres vues de Transylvanie (RO)


Après cette petite dizaine de jours à Lazarea, nous sommes revenus en voiture en Hongrie. Pour venir, nous avions pris un train de nuit, le "Corona Express" (le voyage a duré une dizaine d'heures entre Püspökladàny, au sud de Debrecen, et Gheorgheni, au sud de Lazarea. Ce train fait la liaison entre Budapest et Brasov, ville dont le nom latin est "Corona"). After these ten days in Lazarea, we returned by car to Hungary. To come, we had travelled with a night train named “Corona Express” (the voyage taken ten hours between Puspokladany, in the southern of Debrecen, and Gheorgheni, in the southern of Lazarea. This train is between Budapest and Brasov, city whose Latin name is “Corona”).


En voiture, le voyage dure environ 9h. La Roumanie est pauvrement pourvue d'autoroutes. De ce fait, il faut utiliser les "routes principales" du pays qui rappellent, par leurs aspects et leur environnement, les routes nationales françaises au temps de leur splendeur. En effet, ces "routes principales" traversent encore les villes et villages (ce qui certes n'augmente pas la moyenne mais qui a son charme), sont ponctuées de stations d'essence (au bord de la RN10, elles sont en ruines), de marchands divers qui vendent des oignons ou des souvenirs dès lors que l'on passe dans une zone touristique. Des restaurants jalonnent également ces routes encore très parcourues (cela changera certainement avec l'ouverture de futures autoroutes)... By car, the travel takes approximately 9h. Romania has not a lot of motorways. So it is necessary to use the “main roads” of the country which recalls, by their aspects and their environment, the French national roads during their splendour. Indeed, these "main roads” still cross the cities and villages (what certainly does not increase the speed but which has its charm), are punctuated of gasoline stations (at the edge of the French RN10, they are in ruins), of various merchants who sell onions or souvenirs if we passes in a tourist zone. Restaurants also mark out these very used roads (that will certainly change with the opening of future motorways)…

Ci-dessous, vous pouvez également voir des maisons typiques de Tsiganes (les toits sont impressionnants). Le style est spécial, on aime ou on aime pas, mais il est difficile de rester indifférent en passant à côté! Below, you can also see typical Tziganes houses (the roofs are impressive). The style is special, it is difficult to remain indifferent while passing aside!


Nous avons fait deux haltes importantes lors de ce trajet. Le premier à Cluj Napoca (330 000 habitants: 80% de Roumains, 19% de Hongrois et 1% de Tsiganes) pour voir la belle église catholique et la statue impressionnante du Roi Matthias (Hongrois) juste à côté (il y a des drapeaux roumains juste derrière car il ne faut pas exagérer quand même!). We did two important halts during this way. The first at Cluj Napoca (330 000 inhabitants: Roumanian 80%, Hungarian 19% and 1% of Tziganes) to see the beautiful catholic church and the impressive statue of King Matthias (Hungarian) just at side.


Nous nous sommes également arrêté à Huédin (9500 habitants: 58% de Roumains, 32% de Hongrois et 9% de Roms), à 50 km de Cluj Napoca pour voir son église réformée du 13ème siècle. Celle-ci est superbe, en particulier son plafond en bois composé de panneaux insolites et variés. Huédin est jumelée avec la ville de Manthelan, localisée en Touraine au sud d'Amboise. We also stopped in Huédin (9500 inhabitants: Roumanian 58%, Hungarian 32% and 9% of Roms), at 50 km of Cluj Napoca to see the reformed church of the 13th century. This one is superb in particular the wood ceiling made up of strange and varied panels. Huédin is twinned with the town of Manthelan, located in Touraine in the southern of Amboise.


Le passage de la frontière entre la Roumanie et la Hongrie ne pose aucune difficulté. Les douaniers des deux pays vérifient ensembles les papiers. The crossing of frontiers between Romania and Hungary does have any difficulty. The customs officers of the two countries check together the papers.

Enikö et Pascal.


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