Le récit du film est basé sur une histoire du 19ème siècle connue en Grande-Bretagne. Le barbier de Fleet street fait partie des petites légendes (inspirées de faits réels ?) qui sont répandues dans Londres. Après avoir été injustement envoyé au bagne pendant 15 longues années, le barbier Parker revient sous un faux nom sur les traces de son passé londonien pour se venger.
Le récit (chanté en anglais mais sous-titré) est sombre, amplifié par la réalisation glauque propre à Tim Burton. Les ambiances sont parfois contradictoires, entre les chansons mélodieuses ou douces et la quantité impressionnante d’hémoglobine utilisée au cours du film, entre les recettes culinaires insolites et les romances sous-jacentes entre les personnages. Meurtres et cannibalisme sont donc les mots clefs de la ligne directrice de l’histoire. L’apothéose étant le banquet final au coin du feu à la fin du film.
Enfants s’abstenir ! Mais le film est beau et bien construit. Les acteurs sont parfaits. Nous ne voyons pas le temps passer. Mais décidemment, le crime ne paie pas !
Pascal.
On last Saturday, under a sunny, we went a cinema at
The story of the film is based on a story from the 19th century widespread in
The story (sung) is dark, amplified by the realization of Tim Burton. The moods are sometimes contradictory between the melodious songs or soft and the quantity of hemoglobin used in the film, among the unusual recipes and the romances between the characters. Murder and cannibalism are the key words of the guideline of history. The culmination is the final banquet near the fireplace at the end of the film.
This film is not for the children! But it is beautiful and well-realised. The actors are perfect. We do not see the time passing.
Pascal.